jeudi 15 octobre 2015

La valorisation de la profession (1)

Depuis son arrivée à titre de ministre de l'Éducation, monsieur Blais a un désir ardent de rehausser les critères d'admission au bac en enseignement. Selon lui, il s'agit d'un excellent moyen afin de valoriser la profession. À ce propos, voici un extrait d'un article du journal La Presse :
Le ministre Blais imposera un examen obligatoire de français qu’il faudra avoir réussi pour être admis au bac. Il exigera également de meilleurs résultats scolaires au collégial. Une cote R minimale serait fixée. François Blais a expliqué que son « contingentement ministériel » passerait par une réduction du nombre de personnes admises aux programmes de bac à l’enseignement primaire et secondaire. Québec fixerait pour chaque faculté le nombre de places offertes chaque année, comme il le fait en médecine à l’heure actuelle. 
« On a quand même pas mal de candidatures [au bac]. Si on allait vers un contingentement, on aurait encore de meilleures candidatures. On le fait simplement parce que tous les spécialistes nous disent que rehausser quand c’est possible le niveau intellectuel, les capacités des enseignants, ça se répercute nécessairement chez les enfants. »     
— François Blais, ministre de l’Éducation
Je ferai un peu de millage sur le thème de la valorisation de la profession. En guise d'introduction, je vous propose un article que j'ai écrit et publié dans La Presse +
http://plus.lapresse.ca/screens/96b0528e-d573-4a43-bb06-1b3ccb85bcfb%7c_0.html

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